Pour ma dixième journée d’écriture, j’avais plusieurs obligations à gérer en priorité : ma matinée a été consumée par des appels téléphoniques, des courriels et des formulaires. L’après-midi, je me suis rendue à la bibliothèque Langelier pour y rejoindre Joël Casséus. Ayant terminé la lecture de Tandis que j’agonise de William Faulkner hier et de Harley Quinn, tome 1 : Complètement marteau ce matin, j’ai profité de ma présence à la bibliothèque pour emprunter Rue Sainte-Catherine Est, métro Beaudry de Denis-Martin Chabot.
Joël avait pris le temps de lire à plusieurs reprises quatre pages de mon tapuscrit. Il m’a donné quelques pistes de relecture. Il m’a également encouragée à mieux définir la thèse de mon roman en la résumant en quelques phrases (quatre au maximum) ou bien en rédigeant une quatrième de couverture (texte apparaissant au dos d’un livre).
Notre conversation m’a donné de l’inspiration. Je suis rentrée chez moi à pied, puis je me suis installée devant mon ordinateur, où j’ai écrit une scène et développé deux scènes existantes en m’inspirant du flux de conscience tel que Faulkner l’utilise dans Tandis que j’agonise.
Demain j’écrirai encore à l’ordinateur, je crois. Je verrai en temps et lieu. D’ici là, bonne nuit et bonne journée!