Pour ma deuxième journée d’écriture et de marche, j’ai pris le chemin de la Grande Bibliothèque. Je me suis d’abord rendue au parc Pierre-Marquette, où j’ai déjeuné. J’ai écris 672 mots, soit la première moitié de la scène qui établit l’amitié de la narratrice et d’un autre personnage principal. Comme hier, je me suis heurtée à mon manque de connaissances concernant la Nouvelle Vague française; j’ai dû remettre à plus tard la rédaction de la seconde moitié de la scène.
J’ai ensuite marché jusqu’à la Grande Terrasse Rouge, sur la rue Saint-Denis. N’y trouvant pas l’inspiration, j’ai poursuivi mon chemin et je me suis assise sur un banc au Square Saint-Louis. Une enfant âgée de cinq ou six ans est passée en courant devant moi, m’inspirant une scène de 249 mots.
Je me suis levée pour observer le monument à Crémazie. J’y ai fait la rencontre d’un retraité et de deux laveurs de vitres, dont un amateur de lecture, friand d’Edgar Allan Poe, de Stephen King et d’Edward Lee.
Après un petit détour pour dîner au parc Toussaint-Louverture, je me suis rendue à la Grande Bibliothèque, où j’ai emprunté plusieurs livres sur la Nouvelle Vague, le roman Le roi des rats du québécois Joël Casséus et plusieurs films en DVD (dont plusieurs s’inscrivent dans la Nouvelle Vague). Cela fait, je suis rentrée, ne m’arrêtant que brièvement au parc La Fontaine puis au parc Baldwin pour profiter de l’ombre et boire un peu d’eau.
De retour chez moi, j’ai mis de l’ordre dans mes notes et planifié ma journée de demain. Comme aujourd’hui, je prendrai une longue marche en matinée, cette fois-ci pour me rendre aux locaux de QPIRG Concordia pour quelques heures de bénévolat. Je rentrerai ensuite en transports en commun. Enfin! je vous raconterai ça demain soir.